MA T.O.E.

Neuvième Partie

Chapitre 6

(la suite 3)

Une nouvelle méthode de datation énergétique

Auteur : MEDJID

L'idée d'une datation par le Fatil pourrait révolutionner notre compréhension du temps et des événements passés en offrant une méthode alternative aux approches isotopiques classiques. Voici une synthèse et une extension de cette réflexion en plusieurs axes :

1. Nature vibratoire du Fatil et mesure temporelle:

Dans ma théorie, le Fatil est influencé par deux forces fondamentales : Hubron (cohésion) et Sharar (dissociation). Ces forces pourraient affecter la fréquence vibratoire du Fatil au fil du temps, permettant ainsi d’utiliser ces vibrations comme une horloge cosmique.

Hypothèse : Si chaque Fatil possède une fréquence vibratoire intrinsèque, il est possible que cette fréquence subisse des altérations mesurables sous l'effet du passage du temps et des événements énergétiques cosmiques.
Conséquence : Une "empreinte vibratoire" des événements passés pourrait être conservée dans la structure même des Fatils d'une matière fossile ou minérale.

2. Le rôle du Kattmir dans l'enregistrement des événements:

Le Kattmir, membrane entourant le Fatil, pourrait agir comme une archive cosmique qui conserve les traces des modifications vibratoires subies par le Fatil au fil du temps.

Analogie avec les couches sédimentaires : Tout comme les strates géologiques enregistrent les changements environnementaux sur Terre, le Kattmir pourrait enregistrer les interactions énergétiques qu’un Fatil a traversées.
Enjeu scientifique : Identifier et décoder ces altérations permettrait de reconstituer l’histoire énergétique d’un objet ou d’un être vivant, qu’il soit fossile ou minéral.

3. Une nouvelle méthode de datation énergétique:

Si les isotopes permettent une datation radioactive, le Fatil pourrait permettre une datation vibratoire :

Principe : En analysant la signature vibratoire d’un Fatil dans un fossile ou une roche, on pourrait établir un lien entre les fréquences mesurées et les grands événements cosmiques ou terrestres passés.
Méthode potentielle :
1. Spectroscopie des vibrations du Fatil – Observer les variations de fréquence propres aux événements énergétiques passés.
2. Comparaison avec des modèles de décroissance vibratoire – Établir une chronologie en fonction des influences cosmiques connues (explosions stellaires, rayonnements gamma, etc.).

4. Application en paléontologie et astrophysique:

Si la datation par le Fatil est possible, elle pourrait compléter ou même remplacer certaines méthodes de datation actuelles :

Datation des fossiles : Les signatures vibratoires des Fatils présents dans des os fossilisés pourraient révéler non seulement leur âge, mais aussi l’histoire énergétique de l’environnement où ils ont été préservés.
Datation des événements cosmiques : En analysant les Fatils présents dans les météorites ou les roches terrestres anciennes, il pourrait être possible de reconstituer les événements énergétiques ayant marqué l’univers à différentes époques.

Conclusion et perspectives:

La datation par le Fatil pourrait constituer une révolution scientifique, introduisant une approche énergétique et vibratoire de l’histoire de la matière.

Questions à approfondir :
1. Comment mesurer les vibrations du Fatil ?
2. Existe-t-il un lien direct entre la fréquence du Fatil et le passage du temps ?
3. Comment différencier les altérations naturelles des influences cosmiques ?

Si ces questions trouvent des réponses expérimentales, cette approche pourrait offrir une vision inédite du temps, où chaque élément matériel conserve une trace vibratoire de son passé.