Vers une nouvelle équation unifiant Newton et Kepler

 

MA T.O.E.


Huitième Partie
Chapitre 1
(la suite 9)


🔹 Vers une nouvelle équation de JIDI unifiant Newton et Kepler:


Mon approche introduit trois forces fondamentales (Nouro, Hubron, Sharar) qui influencent la dynamique des corps célestes et l’interaction gravitationnelle. L’objectif est donc de réviser et unifier les équations de Newton et Kepler en intégrant ces nouveaux principes.


1️⃣ Révision de la loi de la gravitation universelle:


L’équation classique de Newton est :


F=Gm1m2r2F = G \frac{m_1 m_2}{r^2}


GG est la constante gravitationnelle et rr la distance entre les deux masses.


🔹 Proposition : Ajouter un terme correctif lié au Nouro, Hubron et Sharar


Puisque le Nouro est une énergie omniprésente qui unifie et stabilise les forces, on peut introduire un facteur modificateur ΦN\Phi_N, fonction de la densité du Nouro.

De plus, les forces Hubron (cohésion) et Sharar (dissociation) interagissent, ce qui peut se traduire par un terme dynamique oscillant lié à l’équilibre local entre ces forces.


F=Gm1m2r2×ΦN×(1+αHβS)F = G \frac{m_1 m_2}{r^2} \times \Phi_N \times \left(1 + \alpha H - \beta S\right)


🔹 Explication des nouveaux termes :


  • ΦN\Phi_N : Facteur correctif du Nouro (influe sur l’intensité gravitationnelle).
  • HH : Influence de Hubron (renforce la gravité, cohésion).
  • SS : Influence de Sharar (affaiblit la gravité, dispersion).
  • α,β\alpha, \beta : Coefficients de pondération des interactions Hubron et Sharar.


Si H>SH > S (Hubron dominant) : La force gravitationnelle est renforcée.
Si S>HS > H (Sharar dominant) : La force gravitationnelle diminue.


 Conséquence : Cette équation permet d’expliquer pourquoi la gravité n’est pas strictement constante et pourrait varier localement en fonction de la structure énergétique de l’univers.


2️⃣ Révision des lois de Kepler:


Les lois de Kepler décrivent le mouvement des planètes sous l’effet de la gravité. Mais si la gravité elle-même est modulée par Nouro, Hubron et Sharar, alors les trajectoires ne sont pas simplement elliptiques mais légèrement spiralées ou oscillantes.


🔹 Loi des Orbites (1ère loi de Kepler modifiée):


Les planètes suivent des orbites hélicoïdales au lieu de simples ellipses :


r(θ)=p1+ecos(θ)×(1+γsin(ωt))r(\theta) = \frac{p}{1 + e \cos(\theta)} \times \left(1 + \gamma \sin(\omega t)\right)


où :

  • pp est le paramètre orbital,
  • ee l’excentricité,
  • γ\gamma est un coefficient lié à l'influence énergétique du Nouro,
  • ω\omega est une fréquence d’oscillation liée aux fluctuations Hubron/Sharar.


 Conséquence : Cette équation prévoit de légères variations orbitales périodiques, compatibles avec certaines anomalies observées dans les trajectoires planétaires et galactiques.


🔹 Loi des Aires (2ème loi de Kepler modifiée):


La loi des aires classique stipule que la vitesse orbitale varie de façon à balayer des aires égales en temps égal.

Si la gravité varie sous l’influence du Nouro, alors cette vitesse n’est plus strictement déterminée par la distance, mais aussi par un facteur énergétique local :


dAdt=12r2ω×(1+δΦN)\frac{dA}{dt} = \frac{1}{2} r^2 \omega \times (1 + \delta \Phi_N)


δ\delta est un facteur d’ajustement énergétique.


Conséquence : Cette équation implique que la vitesse orbitale peut fluctuer légèrement en fonction des oscillations du Nouro, ce qui pourrait expliquer certaines irrégularités dans les orbites des exoplanètes.


🔹 Loi des Périodes (3ème loi de Kepler modifiée):


Classiquement, on a :


T2a3T^2 \propto a^3


TT est la période orbitale et aa le demi-grand axe.

Avec l’influence du Nouro, on ajoute une correction énergétique :


T2=4π2G(M+m)a3×(1+λΦN)T^2 = \frac{4\pi^2}{G (M+m)} a^3 \times \left(1 + \lambda \Phi_N \right)


 Conséquence : L’influence énergétique du Nouro pourrait expliquer les variations anormales de certaines orbites (exemple : anomalies de Pioneer, accélération de l’expansion cosmique).


3️⃣ Vers une Équation Universelle de JIDI:


Nous avons maintenant des corrections énergétiques pour la gravité et les orbites. Il reste à unifier ces équations dans une équation universelle de JIDI, prenant en compte :


  1. La force gravitationnelle modifiée par le Nouro
  2. Le mouvement orbital avec corrections énergétiques
  3. Les influences Hubron et Sharar sur la dynamique cosmique


Équation Générale de la Dynamique Cosmique (Équation de JIDI) :


F=Gm1m2r2×ΦN×(1+αHβS)F = G \frac{m_1 m_2}{r^2} \times \Phi_N \times (1 + \alpha H - \beta S)
r(θ)=p1+ecos(θ)×(1+γsin(ωt))r(\theta) = \frac{p}{1 + e \cos(\theta)} \times (1 + \gamma \sin(\omega t))
T2=4π2G(M+m)a3×(1+λΦN)T^2 = \frac{4\pi^2}{G (M+m)} a^3 \times \left(1 + \lambda \Phi_N \right)


 Cette équation introduit une dynamique universelle qui intègre la gravité classique + les corrections du Nouro et des forces fondamentales de ma théorie.


Comparaison des deux expressions pour T2T^2:


Les deux formulations sont valables, mais elles traduisent des approches différentes de la modification des lois classiques sous l’influence de ma théorie.


1️⃣ Première version :


T2=4π2G(M+m)a3×(1+λΦN)T^2 = \frac{4\pi^2}{G (M + m)} a^3 \times (1 + \lambda \Phi_N)

Avantages :

  • C'est une modification directe de la loi de Kepler avec un facteur correctif simple (1+λΦN)(1 + \lambda \Phi_N).
  • λΦN\lambda \Phi_N représente une légère déviation de la relation classique en raison du Nouro.

 

Interprétation :

  • Si λΦN>0\lambda \Phi_N > 0, alors la période orbitale est plus grande que prévu (effet d’une force supplémentaire qui réduit la gravité).
  • Si λΦN<0\lambda \Phi_N < 0, alors la période orbitale est plus courte, suggérant un renforcement de l’attraction gravitationnelle.


2️⃣ Deuxième version :


T2=4π2G(M+m)a3×f(ΦN,α,β,γ,λ)T^2 = \frac{4\pi^2}{G (M + m)} a^3 \times f(\Phi_N, \alpha, \beta, \gamma, \lambda)

Avantages :

  • Cette version est plus générale, car la fonction f(ΦN,α,β,γ,λ)f(\Phi_N, \alpha, \beta, \gamma, \lambda) peut inclure des dépendances non linéaires aux nouvelles forces.
  • Elle permet de modéliser des variations plus complexes sur l’orbite et la dynamique du système.

  

Interprétation :

  • Ici, la correction dépend de plusieurs paramètres de la théorie :
    • αH\alpha H (influence de Hubron, stabilisation).
    • βS\beta S (influence de Sharar, instabilité et chaos).
    • γsin(ωt)\gamma \sin(\omega t) (perturbation périodique liée au Nouro).


Quel choix privilégier ?


Si l'on cherche une correction simple et directement testable : La première expression est idéale.

Si l'on veut une modélisation plus précise intégrant plusieurs facteurs de la théorie : La seconde est plus flexible et complète.


➡️ On peut donc commencer avec la première pour tester les données actuelles, puis affiner vers la seconde en fonction des observations.


📌 Conclusion et Perspectives:


Réinterprétation de Newton et Kepler

En intégrant les corrections du Nouro, Hubron et Sharar, on obtient une dynamique plus complète expliquant les anomalies gravitationnelles et orbitales.


Conséquences possibles :


  • Variations de la gravité et de la vitesse orbitale en fonction des fluctuations énergétiques.
  • Possibilité d'expliquer des anomalies gravitationnelles (comme l'accélération des sondes Pioneer).
  • Modèle permettant de relier mouvement orbital, énergie cosmique et fluctuations quantiques.


Prochaines étapes :


  • Déterminer expérimentalement la valeur des paramètres ΦN,α,β,γ,λ\Phi_N, \alpha, \beta, \gamma, \lambda.
  • Vérifier si ces prédictions correspondent aux données astrophysiques.
  • Étendre l’équation aux grandes structures cosmologiques pour modéliser l’univers en sablier.

   

    L’équation de JIDI pourrait être une première étape vers une nouvelle physique de la gravité et du mouvement orbital, unifiant les forces à une échelle cosmique et quantique !


                                                                 À suivre...                                                        


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